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Juste un bouquet de vers dans le vase...le drame. Juste une fleur sincère dans la vie... le vacarme. Quand le brouillard arrose les pétales de Rose
Juste un bouquet de vers dans le vase...le drame. Juste une fleur sincère dans la vie... le vacarme. Quand le brouillard arrose les pétales de Rose
Ta différence assumer, tu as bien raison ! Mais souffrance estomper te semble si impossible... Et pourtant, pourtant existent des solutions Pour ne plus s abîmer et rester qui tu es Tu invoques la douleur créatrice, l alcool... Ta réalité est plus forte...
Aujourd'hui j'ai 13 ans et le visage doré grâce au prisme diaphane imposé à mon âme en ce 23 Novembre 2007 à la Chambre des invités de l'ambre et du cristal royal Aurais-je halluciné ou bien entraperçu le rayonnement pluriel des singuliers repus aux cadences...
Quand les hommes ne sont plus que des sondages dans un catalogue d'opinion statistique, des pourcentages au médecin légiste... Quand la suspicion et la délation ont été disséminées dans nos cerveaux laboratoires sur l'écran division... Quand ils arrivent...
J'ai bouffé une ampoule avec ses filaments pour éclaircir ma boule toujours en écrivant en langage de la houle, au tangage enivrant... j'ai le mal des synapses à la Mer des sarcasmes, La diffusion de l'onde... Je me suis fait un monde tout en syntonisant...
Big On & On à la Cubaine ! Désormais plus la peine de cliquer des icônes, la pub s'est fait la malle, le stadium est total et la foule sur son trône... ça sent la saucisse frite au stand des sangrias Des clameurs et du mythe... un enfant un papa en Europe...
Quand deux tristesses se font des politesses au Black Sunday... le soir... il arrive elle s'amène le Lundi, la semaine... Dimanche soir un miroir et saturne à la foire,le week-end est passé autant que la journée Vendredi voit vénus au Lundi lunatique,...
Double spleen intégral... Isaac monumental... Full mental alchimiste... il est fondu l'artiste... Newton lance une pomme, elle retombe et nous donne la Gravité des lustres à la cité lacustre Nombrée 667 au premier tête à tête des conteurs d'harmonie en...
Au mariage de la terre et de l'eau y'avait pas de sanglot ni personne à vrai dire sauf la Lune en sourire... un hamac au repos de nos propres délires... c'est la Nuit festival du Soleil hivernal... Aux rivages de la Pierre y'avait la bouée Zéro que tes...
Une fois par an je pense au maillot de Miss France échancré sur la frange...coiffure en Barbie-dure... "J'aime bien les zanimals et le tiers-monde c'est sûr..." des fois on est bien cons mais on adore... c'est bon... La Vie-Caricature et son cul élection......
C'est bien la première fois qu'on développe des clichés dans l'eau de Mer... dans la chambre infra-bleue des maisons légendaires qui regardaient les cieux... C'est pas la dernière fois qu'on écope sa barque pour voyager un peu entre deux ou trois pierres......
Épiphanie au bar, j'prendrais bien un ricard avec mon père Christ yang et ma mère Eve yin... un apéro drakkar au courants d'Ursuline, au couvent du Bonsoir fermenté par la rime Du Globe Trotter trop tard... l'inventeur des histoires sur la place vendéenne...
Jeunesse est-elle vilaine à danser sur son île pour l'année qui s'amène ou bien résistent-ils ?... On les appelle teufeurs,raveurs ou imbéciles... ça dépend des humeurs et de vieillesse fragile Peut-être que Chloé avait son père dehors en train de s'inquiéter......
Une fois est ma coutume qui demande au lecteur de faire comme d'habitude et lire le son d'abord avec un casque en plumes et les oreilles dehors... les tympans au bercail et un truc qui s'envole Comme un skateur au sample posé sur le bitume... un danseur...
De son Père elle a hérité cet esprit cartésien, lui le spécialiste en physique des particules membre du CNRS, de sa Mère il lui reste la sensibilité artistique propre à tous les musiciens, elle la violoncelliste au concerto féminin... De la Terre elle...
Il était en CP la première fois que Madame Guyonnet lui présenta l'alphabet, six ans et pas toutes les dents encore bien alignées pour articuler les mots posés sur l'ardoise... ni métaphore ni emphase pour l'instant... Clément apprend... comme tous les...
Clément du labyrinthe se promène avec Elle juste pour une étreinte... un amour avec Celle... la Terre toujours enceinte qui lui donna ses maux... Il est perdu s'éreinte à entendre le faux lui le vrai dans sa tête qui continue l'enquête vers nul part sauf...
Juste un peu d'eau de Mer dans mon stylo à plumes suffira à voir clair aux vendeurs de fortune, ces magouilleurs sous serre à la cloche médicale, ces donneurs de que dalle qui insultent la Terre... Où est passé le rêve anobli par la Grève des faveurs...
Y'a une lampe frontale sur ma tête bien chercheuse...Un lampadaire mental dans la grotte savoureuse où nos chemins se croisent...Un rayon de crayon pour tagguer une ardoise sous le noble Horizon... Y'a un beau labyrinthe pavé de nos empreintes le Temps...
Quand t'as 16 ans et que t'entends Sweet Smoke pour la première fois dans cette ambiance feutrée des soirées enfumées... y'a tes neurones qui trottent au bord du fleuve Hippie et d'une tendre époque chérie par les esprits baignés de nostalgie... Ouhlala...
Derrière la Big Playlist y'a un type qui fredonne son âme en 28 pistes ouvertes à la Madonne... Juste un gars qui envoie du lourd au téléphone... textos sur la Sono en Pardon-électro... D'humain je tiens bêtise en héritage profond tout seul sur ma banquise......
De Fauve... Claque musicale du passé... Du flow à l'électro, grand écart obsédant Entraînant sur la piste des maux révélés Est ce bien assez ? En fait-on suffisamment ? Toujours maladroit, touché, pt' être à côté... De ses pompes, des pensées de l'autre...
On fumait dans les bars tous les samedis soirs à l'arrière des scooters...des taxis mobylettes...Ça sentait le pétard et le week-end en fête...j'appelle ça le Bonheur et des traces dans ma tête... Y'a un feu d'artifice à la Nuit l'édifice où je m'éclate...
On se touche on se frotte tout au fond de la grotte puis on couve l'étincelle en l'honneur du Soleil lorsque la nuit retombe, aussi Lune qu'elle est ronde... On préserve le feu accueilli là par terre à la valse des ombres... aux parois de la fière chaleureuse...
Quand je partage en famille les Terminators Je sens en moi la guerrière Sarah Conor Au quotidien la lutte contre les machines Pour déscotcher des écrans, faut la jouer fine... Des enfants en panique si t'as pas le wifi Le réseau est en panne et tout part...
C est l' histoire d' un mec. C est l' histoire d' un enfant, dehors toujours, petit dernier, moins docile que les 2 premiers... Le sport, les copains, l' école, difficile de lui mettre des limites à celui là, mais il apprend et bien... Un enfant sans...