Je prends un dernier vers pour agiter le ciel
De mon arc et les flèches en Apollon de sel
Face à la grande Mer... celle de Calogero
Et tous ceux en travaux sur la Terre bien réelle
J'ai un truc en béton à construire tel idiot
Qui s'arnache au stylo en passant pour un con...
On choisit pas l'amour ni même le discours
Déversé dans un pot pour que la fleur ne fane.
Mais on choisit les mots pour dire à une femme
Que les pétales sont doux aux caresses des fous.
Je suis le créateur qui redonne à la muse
Son authentique honneur les soirs où je m'accuse.
MH.